Il conserve son amour jusqu’à la millième génération : il pardonne le crime, la faute et le péché, mais ne tient pas le coupable pour innocent, il punit la faute des pères sur leurs descendants jusqu’à la troisième, voire même la quatrième génération.

Aussitôt, Moïse s’inclina jusqu’à terre et se prosterna. Puis il dit : Seigneur, si j’ai obtenu ta faveur, je t’en prie, Seigneur, marche au milieu de nous. Oui, c’est un peuple rebelle, mais veuille pardonner nos fautes et nos péchés et conserver notre peuple comme ta possession !

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